samedi 26 février 2011

Gouvernance et transparence deviennent les deux mamelles de la philanthropie

Selon le journal "Branchez-vous Matin" plus des trois quarts (77 %) des Québécois craignent d'être victimes d'arnaques, selon un sondage récent de la firme Angus Reid. L'augmentation des fraudes entrainerait une diminution du nombre de dons dans la province. Cette information est reprise par "Philanthropie Québec" qui insiste sur l'importance d'une bonne gouvernance pour les institutions philanthropiques : "pas de règles d'observance fiscales, pas de confiance du public donateur, pas de dons, pas d'activités et donc pas de pérennité de l'organisme de bienfaisance".

C'est probablement vrai aussi en France, et cela doit nous pousser à l'innovation dans le domaine philanthropique ! Il ne s'agit plus de raconter des belles histoires : il faut leur donner un contenu. Les donateurs ne fonctionnent plus seulement à l'émotion : ils souhaitent des informations, une transparence ... et sans doute, demain, des évaluations. C'est d'ailleurs passionnant, mais il faut s'y mettre ...

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